La flêche me dirige vers la salle où Diane Rabreau à sa présentation. J'étais impressioné, il faut le dire, par le projet de Robby Verdickt et ses aventures en Ethiopie. On en parlait pas mal de temps. Il n'avait pas eu l'intention de faire des photos de ses intérieurs désolates à Gabriel, où vivent les riches, l'ambassadeur, des industriels, des diplomats, des gens d'affaires, des gens qui venaient s'installer dans le désert comme dans un roman de Raymond Chandler. En effet, la découverte ce n'était pas là série de photos - qui me semblait une duplication interminable d'un seul photo, d'une seule lumière, la lumière d'une décadence solitaire et tropicale qui présentait avec chaque intérieur où Robby pouvait s'installer avec son camera la duplication d'une couleur locale complètement indifférente, les intérieurs eux-mêmes d'ailleurs qui n'avaient rien qu'une certaine présence indifférente, no living soul around, rien qui marquait la présence d'une individualité au bout de quelque chose, comme si les intérieurs eux-mêmes affichaient le vide absolu des gens qui y habitaient - c'étaient les textes qui me frappaient. Les images déjà donnaient une impression étrange: les textes ajoutaient un rapport qui accordait avec cette impression, quelque chose de lisible qui était déjà dans les photos. La flêche me dirigeait vers la salle de Diane Rabreau. Son projet s'intitulait België & Frankrijk, De kleine gids van vergeten bestemmingen.
J'avais tout de suite l'impression d'entrer en quelque chose de très particulière, quelque chose, c'est vrai, il faut le dire, qui approchait ma Chasse aux syllabes, wat in dat geval Frankrijk, Een kleine gids van onbekende bestemmingen genoemd zou kunnen worden. Diane Rabreau invite chaque'un qui s'y intéresse de lui approcher avec une location inédite et solitaire. Alors elle se dirige vers la location en question et la questionne. Question de merde ou question crême glace, toutes les locations mises en question ajoutent à l'aventure, le prospectus Franco-Belge des locations perdues. We babbelden. Ik stond voor een laptop. Op het beeldscherm was de tekening te zien van een man die kakte en een hond die aan de drol snuffelde. Pête de..., stond er. Ik zei dat m'n meest recente project met stront te maken had. L'homme est d'une nature coprofrage, zei ik, of iets in die trant. De mens is een stronteter. We kakken en eten zoveel stront dat er geen tijd voor wat anders is. Diane, het was haar laptop, herinnerde zich prompt un jour j'ai rencontré un homme de merde, de naam van de dichter bleef in het ongewisse. Christophe Tarkos, ontdekten we. We bekeken een filmpje, lachten. Topor, zei ze.
zondag 30 juni 2013
Abonneren op:
Reacties posten (Atom)
Geen opmerkingen:
Een reactie posten